Comme vous le savez peut-être, et si vous ne le savez pas, c’est que vous travaillez trop, mon livre Permis de croquer, sorti mi-novembre, rencontre un succès considérable. Il a déjà obtenu un prix ! Non, pas le prix qu’on-court après, ni le prix Renaudot, ni même le prix Dandprejudice, mais le prix de quinze euros, ce qui est aussi Cher que la chanteuse quand on y pense bien.
Le livre n’est pas donné, non, puisqu’il est en vente**. Si vous avez les boules, je comprendrai… Tout dépend des bourses.
Permis de croquer est un bel objet de format palindromique (12x21 cm), peu épais (56 pages) mais de fort grammage (120 g) ; autrement dit, tout en finesse, et dense ; illustré avec talent dans un atelier d'enfer ; imprimé avec amour au cœur de l'Yonne (rien à voir avec le camembert). Permis de croquer sent bon le beau bébé frais. D'ailleurs, qui/qu'y croque-t-on ? De bonnes poires, pardi ! Mes idoles ? Évidemment. Mes amis ? Carrément. Mes amours ? Ben ouais. Une vingtaine de portraits rythmés, pour la plupart en vers réguliers, brossés à grand renfort d'esprit, d'humour, d'audace. Une poésie porteuse de sens, travaillée, recherchée, sans être obscure. Et ce n’est pas moi qui le dis ! Enfin si, un peu quand même. Mais pas que !
« C’est un régal, ce petit recueil ! » Vincent Dedienne (comédien, chroniqueur)
« Prometteur ! » Gordon Zola (écrivain)
« Écrit au millimètre, drôle, impertinent, subtil, profond pour nous surprendre, attachant, bienveillant… Il s’en dégage une personnalité, quelque chose de jamais vu. C’est quand même tout un exercice que de rédiger ce bordel maîtrisé. Après, je ne suis pas bien futé et je n’y connais rien. » P-A Bardet (co-blogueur)
Sur des poèmes en particulier (P-A) :
« Une belle déclaration de fan couillu. Un poète qui veut pécho une star du grand écran, ça a le mérite d’accoucher de ce poème finalement drôle et gorgé d’admiration ; mais est-elle réelle ou surjouée ? »
« Parfois, plus c’est court, plus c’est bon ! »
« Pour une fois on ne rigole pas, on lit et on savoure ça comme du boudin. Ça fait du bien de ne plus se concentrer pour voir le jeu de mots, ce poème coule tout seul et c’est pour ça qu’on l’aime et qu’on le découvre comme toujours parsemé d’instants de bravoure en rimes et en mots savamment choisis. »
« On atteint le moment du recueil où on doit logiquement se faire chier, mais on n’y arrive pas ! »
« Je pense que Baudelaire bourré aurait écrit le même pour sa sœur. »
Merci de nous lire sur ce blog qui fête un an de buzz plus ou moins médiatiques !
Et de me lire tantôt sur papier j’espère ! Il est permis de craquer !
Et de me lire tantôt sur papier j’espère ! Il est permis de craquer !